Dans le palais de l'Alcazar, le jardin merveilleux des Omeyyades dans sa lisibilité géométrique, ses sols nets, invite à passer des heures assis dans un bien-être protégé. On y est bien toute l’année à découvrir de nouvelles lumières. Il est le contraire du mixed border de Gertrude Jekyll, son allée incertaine et sa complexité chromatique éphémère, l’antipode de la morne pelouse.
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